Brève
Tiens, en zappant, je suis tombée sur "La grande librairie".
Il paraît que Michel Onfray commence une "Contre-histoire de la littérature" comme il a fait sa contre-histoire de la philosophie.
Son premier volume porte sur une analyse de "Don Quichotte" de Cervantès. Je n'ai pas tout retenu, mais "Don Quichotte" fait partie de ces livres que tout le monde connaît et que presque personne n'a lu (et pour cause !) et il égratigne (dans l'émission) Freud au passage.
Mais il m'a semblé que son analyse du phénomène du déni était intéressante. Le déni m'intéresse dans la mesure où j'ai été confrontée à quelqu'un qui était dans le déni total de son alcoolisme... Et qui est toujours dans ce déni total d'ailleurs, car il ne comprend pas que c'est à cause de cela, prioritairement, que je l'ai quitté (alors que la rupture et moi, cela fait nettement deux).
Ceci dit, je pense que la psychanalyse a du bon, mais je ne sais pas si le fait de connaître la cause de ses "flops" guérit de commettre d'autres "flops" du même genre, encore et encore...
Or, c'est finalement cela, le but le plus intéressant et le résultat espéré des thérapies en général.
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