De tout et de rien...
La dernière fois que je pensais à mon blog, j'ai pensé au texte pour le devoir de Lakévio...
Et puis, je ne sais plus ce que j'ai fait samedi, et dimanche, je suis allée voir mon fils...
Et lundi, je suis allée à une réunion... Puis j'ai fait des courses, en allant plus loin que la station de métro la plus proche! Je n'étais plus allée si loin (à pied!) depuis longtemps. Je ne suis pourtant pas agoraphobe... J'ai tant couru dans mon quartier!
Mardi, c'est-à-dire hier, je ne m'appesantirai pas, si ce n'est que malgré mes tremblements et le mal de tête qui a suivi tout ça, je suis "contente" d'avoir fait tout ce que je devais faire, administrativement parlant. Reste à voir ce que ça va donner... De temps en temps, je râle sur l'immeuble, sur l'Assemblée générale, sur la porte des parkings qui ne ferme pas, est trouée et bat encore entre 22 heures et minuit... Sur les rats, les souris et les cafards... Sur les arbres qu'on abat. Sur le monde qui change. Sur le syndic, etc. etc.
Il faut vraiment que je prenne un café avec un petit quelque chose. J'ai retrouvé une mignonnette oubliée.
Tout à l'heure, je vais aller à l'inauguration de ma grande surface préférée, pour laquelle j'ai reçu une invitation.
Tout en me baladant dans le quartier, je photographie des arbres en fleurs.
Sinon, je ne fais pas grand-chose d'intéressant, je ne lis pas grand-chose d'intéressant, et je ne regarde pas grand-chose d'intéressant à la télé - sauf de temps en temps, Retour aux sources. Une émission historique. J'enregistre beaucoup et je regarde après, ce qui me permet de passer en triple vitesse sur la pub pour les dentifrices, la colle des appareils dentaires, et les appareils pour faire tourner les jambes des vieilles comme moi. Rhumatismes, diabète, veines et cie.
En tout cas, hier soir, je me suis carrément endormie devant le capitaine Marleau enquêtant en Côte d'Opale - puisque j'aime bien la Côte d'Opale. J'avais lu un article où l'on disait du bien de cette série.
Je suis un peu allergique à son chapeau à oreillettes - sa chapka. Mais il paraît qu'elle joue chaque fois avec un acteur ou une actrice connus et que parfois, elle parle ch'ti. Je ne suis pas convaincue. Il paraîtrait que c'est un Columbo féminin et français, mais je ne trouve pas vraiment... Bien que - quand on a vu un Columbo, on les a tous vus.
Bon, évidemment, je me suis réveillée à minuit, l'enregistrement était fini depuis longtemps... Et je suis allée lire au lit en espérant m'endormir.
La dernière fois que j'ai pensé à mon blog, aussi, j'avais décidé d'écrire quelque chose sur le Capitaine Fracasse (le roman de Théophile Gautier). Mais c'est reporté à plus tard.
En tout cas, dès que l'expert sera venu, je pourrai achever de déblayer ma cave (malheureusement, les conteneurs pour les encombrants sont partis!) donner un coup de peinture aux murs, essayer de mettre un plexi devant l'ouverture qui donne sur l'emplacement des poubelles - qui passent le lundi et le jeudi... Soir. Je ne sais pas ce que je vais y entreposer. Enfin. Il faut d'abord que je la vide. J'en ai marre des planches qui l'encombrent.
Mon fils me suggérait d'y taper des caisses de vieilles revues informatiques de son père, rien que pour embêter les cambrioleurs éventuels. J'ai dit que je n'étais pas chaude, en cas d'incendie... Ou d'inondation...
Il y a déjà une caisse de mon dossier pédagogique "Images de la Citoyenneté au féminin", de 2002, qui pourrit dans ma cave et peut-être celle de mon ancien employeur. Ca n'a jamais été "commercialisé". Et d'ailleurs, le chapitre sur la violence contre les femmes avait été censuré par mes "chefs". Qui trouvaient que cela faisait trop "plaidoyer contre des hommes". Evidemment, le sous-chef était caractériel (pas le directeur, c'était juste un psy dont les parents étaient deux anciens profs de français o;) - le sous-chef a d'ailleurs été viré quelques années après (avoir été désigné "adjoint à la Direction, morte de rire...)
Bon, postons quelques photos de fleurs, cela ne mange pas de pain... Et j'ai fait de mon mieux.
Japonisant...
Je les aime. Un peu. Beaucoup. Tendrement. Passionnément.
Jusqu'aux plus modestes...