Brèves en tout genre

2 juin 2017

Hier, j'étais impatiente d'écrire mon article sur la bibliothèque d'Ixelles. Comme si c'était le summum du bonheur.

Ceci dit, j'aime beaucoup aller à la bibliothèque d'Anderlecht. Je lui fais juste un reproche : il y fait chaud. Mortellement chaud. Quand je sors de là, je suis au bord de l'évanouissement et il me faut d'urgence un sorbet ou un café et une eau bien fraîche. Ou le tout ensemble.

En général, les livres que je cherche sont dans le rayon du bas, bien sûr, c'est le coup de la loi de Murphy.

Quand je rentre, j'aime bien mettre en tas les livres que j'ai empruntés et, les orteils en éventail dans le canapé, me dire que j'en ai pour des heures de lecture.

Mais si je regarde un épisode du "Major Bernier" (Section de recherches), je finis par m'endormir dans le dit canapé et je ne sais pas non plus qui a tué.

Enfin, hier, nous sommes revenues de l'Ecole des Arts, où on a remis nos travaux.

Bilan du cours d'infographie 3ème année :

Un calendrier 2017, j'avais le mois de juin, j'ai fait une infographie intitulée "La nuit de juin".

Dédiée à mon père, né le 19 juin 1925.

Puis, l'affiche du film qui "n'a pas été tourné". J'ai toujours plein d'idées, mais finalement, j'ai opté pour l'humour. Dans les années 60, on a tourné à peu près cinq films sur l'histoire d'Angélique, la célèbre marquise des Anges (c'était son surnom dans la matterie, ses vraies identités ayant été de Sancé de Monteloup, puis comtesse de Peyrac de Morens d'Irristru, puis marquise du Plessis-Bellières).

Ceci dit, la marquise de Plessis-Bellières a vraiment existé, c'était une femme de l'entourage de Nicolas Fouquet, le malchanceux. A qui l'on doit la merveille de Vaux-le-Vicomte.

Bref, j'ai commis quatre ou cinq affiches sur des suites d'Angélique. Dans les romans, elle retrouve son premier mari, le comte de Peyrac, ou encore le Rescator, et s'en va avec lui aux Amériques, à bord du Gouldsboro, avec un groupe de protestants persécutés par les dragons du roi de France.

Cela donne :

"Angélique va commettre un meurtre" qui est devenu sagement "L'inquisiteur d'Aunis", par référence au ciel d'Aunis, au-dessus de La Rochelle,

"Angélique et les mutins du Gouldsboro" (les protestants et quelques hommes de l'équipage de Peyrac se mutinent et s'emparent du navire, avant que le comte de Peyrac ne reprenne le dessus).

Pour cette affiche, je me suis éclatée, car j'ai repris une photo de la charpente du château de Vaux-le-Vicomte, quelque chose qui me transporte de bonheur... (Ben oui, je suis comme ça!)

"Angélique émigrante"... C'était mon tribut et ma réponse au "Refugees welcome" de facebook.

Il y en a une cinquième, mais elle est moins aboutie.

Puis, à la rentrée 2017, on a fait notre "lithographie de cuisine", de la lithographie sur plaque en métal, avec papier alu et encres diverses, coca-cola, eau, savon, etc. Puis, à partir de ça, on a fait des projets de carrelage 30x30. Bon, j'espère que le prof les trouvera tous et les imprimera, on est dix, on n'a qu'un local, et on a tous beaucoup travaillé.

Et puis le réseau..............................

Le réseau fut mon cauchemar de 2016-2017.

Parce que j'aurais dû beaucoup préparer en amont et que je n'ai eu ni le temps ni l'énergie de scanner des photos, des cartes, mettre sur clé USB, et amener au cours. J'ai quand même cinq planches A3 (trop grandes), sur les liens familiaux. Mon dada, c'est l'histoire des différentes branches de ma famille, depuis le XIXème siècle et comment ils se sont déplacés en Belgique (en France aussi d'ailleurs), jusqu'à aujourd'hui.