Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Variations de regard
23 janvier 2017

Brève

Autant je lis et relis "Une fille formidable" de Mary Wesley (qui fait partie d'une "trilogie" sur l'Angleterre pendant la guerre 40-45), autant j'ai du mal avec ses autres romans.

Je n'ai pas mordu au roman "Les raisons du coeur" (le troisième livre sur la guerre), emprunté à la bibliothèque. Ni à "Salé, sucré, poivré". J'ai trouvé "La pelouse de camomille" (le premier livre sur la guerre, dont le titre me paraissait prometteur) au Pêle-Mêle de Waterloo (il y a quand même un Pêle-Mêle à Waterloo, mais je n'aime plus trop leur logique de vente, ni au Centre ni ailleurs), et je le lis en diagonale... Je n'arrive pas à suivre les démêlés sentimentalo-sensuels des différents personnages, mais je devrais peut-être y mettre plus de concentration.

Peut-être que j'ai un indice. Dans "Une fille formidable", le côté narratif, descriptif et évocateur est très développé. Il y a des dialogues, mais pas indéfinis. Et puis, il y a un charme indéfinissable qui se dégage de ce livre, avec son côté légèrement irrévérencieux (toujours chez Mary Wesley). Peut-être dû à l'évocation d'un village et d'un domaine agricole au fin fond de la Cornouailles ?

Publicité
Publicité
Commentaires
A
"Salé, sucré, poivré" est celui qui m’avait le moins plu, et j’avais eu du mal à le trouver, dû traverser Paris pour l’emprunter dans la seule bibliothèque qui le possédait : je lui avais trouvé un air de déjà vu, mais en fait c’est son troisième roman, après "La Resquilleuse" et "La Pelouse de camomille". <br /> <br /> Je vais les relire tous en suivant l’ordre de publication et, surtout, les acheter.<br /> <br /> Un roman n’a pas été traduit, je me demande pourquoi.
Répondre
P
Hi-hi ! C'est gentil ça, merci o:)))
Répondre
C
Peut-être parce que tu es une fille formidable... ;-)<br /> <br /> ¸¸.•*¨*• ☆
Répondre
Variations de regard
Variations de regard

Quartz Rose ou pas, je suis toujours Pivoine... Me revoici, avec, pour fil conducteur, des souvenirs de Bruxelles, des balades en d'autres lieux. Donc, musardons ensemble, un peu au hasard, nous verrons bien où nos pas nous mènent

Publicité
Newsletter
Publicité